Le jour où on arrivera à trouver la molécule ou le mécanisme qui permet cela sera un grand jour.
Le jour où on pourra être gourmande et avoir bonne conscience.
CQFD
C.Q.F.D
Derrière les fenêtres, devant les écrans (et vice versa)
C.Q.F.D
Derrière les fenêtres, devant les écrans (et vice versa)
Jeudi 3 mars 2011 à 12:04
Les scientifiques devraient se penser sur ce phénomène. Comment les hommes font-ils pour manger 24 cheeseburgers sans prendre un gramme alors que nous, la gente féminine, ne pouvons pas manger un carré de chocolat sans qu'il soit automatiquement envoyé dans notre cher fessier ?
Le jour où on arrivera à trouver la molécule ou le mécanisme qui permet cela sera un grand jour.
Le jour où on pourra être gourmande et avoir bonne conscience.
CQFD
Le jour où on arrivera à trouver la molécule ou le mécanisme qui permet cela sera un grand jour.
Le jour où on pourra être gourmande et avoir bonne conscience.
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Vendredi 25 février 2011 à 17:33
Mignon quand même.
CQFD
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Mercredi 23 février 2011 à 18:49
"Et m***e j'ai que des plaques électriques --' "
C'est dans cet état que tout peut basculer, dans cet entre deux eaux, quand on ne se sent pas forcément bien mais pas forcément mal non plus. Je divague, j'écoute Junebug, je laisse mes yeux se balader sur la toile au fil des sites qui défilent sans arriver à attirer mon attention et là je tombe sur cette photo. Une amie d'enfance avec son nouveau-né dans les bras, on a le même âge (j'ai 21 ans). A ce moment deux réactions :
C'est dans cet état que tout peut basculer, dans cet entre deux eaux, quand on ne se sent pas forcément bien mais pas forcément mal non plus. Je divague, j'écoute Junebug, je laisse mes yeux se balader sur la toile au fil des sites qui défilent sans arriver à attirer mon attention et là je tombe sur cette photo. Une amie d'enfance avec son nouveau-né dans les bras, on a le même âge (j'ai 21 ans). A ce moment deux réactions :
- La première c'est le coup de vieux que l'on prend d'un coup en se rendant compte qu'on pourrait déjà être maquée, avoir une famille, une belle-famille (très important), un jardin et un petit chien à sortir tous les matins pour qu'il fasse sa petite crotte sur le paillasson des voisins.
- La seconde c'est cette drôle de sensation dans le ventre comme si mon estomac se serrait à la manière d'une éponge dont on veut égoutter la moindre once d'eau. Pourquoi est-elle heureuse et moi pas ? La réponse est simple : les études.
Voilà comment une petite photo peut être la goutte d'eau entrainant un raz de marée de sentiments refoulés ces dernières semaines.
C'est toujours dans les moments où on a besoin de quelqu'un que l'on est seule, et F**k Facebook --'
C'est toujours dans les moments où on a besoin de quelqu'un que l'on est seule, et F**k Facebook --'
CQFD
Samedi 19 février 2011 à 14:53
" Les garçons c'est tous des c*** "
En fait quand on y réfléchi c'est plutôt l'inverse. La majeur partie des garçons sont drôles, sympa avec des qualités et des défauts comme tout le monde mais une petite poignée d'irréductibles persiste encore et encore à se comporter en parfaits malotrus (j'adore ce mot ^^) et martyriser nos pauvres petits coeurs.
Tout cela pourrait être génial si ce n'était pas cette poignée d'irréductibles qui nous faisait tourner la tête et chavirer le coeur. Et oui, qui se rappelle du petit binoclard de 3ème qui était éperdument amoureux de nous et nous offrait des poèmes et des petites fleurs cueillies au bord du chemin à chaque fois qu'il nous voyait ? Réponse : Personne.
Par contre je suis persuadée que tout le monde se rappelle du looser de 1ère qui nous a brisé le coeur après nous avoir fait miroiter la lune dans ses bras, son visage, une trace de son parfum (comme Fahrenheit 32), un bout de photo (rangé dans une boite à chaussure), on a toute gardé quelque chose de lui.
On fonctionne comme cela, on oublie ceux qui veulent nous rendre heureuse et on aime les garçons méchants.
Avis aux garçons en mal d'amour, faites nous pleurer et on s'accrochera à vous de toutes nos forces.
CQFD
Tout cela pourrait être génial si ce n'était pas cette poignée d'irréductibles qui nous faisait tourner la tête et chavirer le coeur. Et oui, qui se rappelle du petit binoclard de 3ème qui était éperdument amoureux de nous et nous offrait des poèmes et des petites fleurs cueillies au bord du chemin à chaque fois qu'il nous voyait ? Réponse : Personne.
Par contre je suis persuadée que tout le monde se rappelle du looser de 1ère qui nous a brisé le coeur après nous avoir fait miroiter la lune dans ses bras, son visage, une trace de son parfum (comme Fahrenheit 32), un bout de photo (rangé dans une boite à chaussure), on a toute gardé quelque chose de lui.
On fonctionne comme cela, on oublie ceux qui veulent nous rendre heureuse et on aime les garçons méchants.
Avis aux garçons en mal d'amour, faites nous pleurer et on s'accrochera à vous de toutes nos forces.
CQFD
