Le jour où on arrivera à trouver la molécule ou le mécanisme qui permet cela sera un grand jour.
Le jour où on pourra être gourmande et avoir bonne conscience.
CQFD
C.Q.F.D
Derrière les fenêtres, devant les écrans (et vice versa)
C.Q.F.D
Derrière les fenêtres, devant les écrans (et vice versa)
Jeudi 3 mars 2011 à 12:04
Les scientifiques devraient se penser sur ce phénomène. Comment les hommes font-ils pour manger 24 cheeseburgers sans prendre un gramme alors que nous, la gente féminine, ne pouvons pas manger un carré de chocolat sans qu'il soit automatiquement envoyé dans notre cher fessier ?
Le jour où on arrivera à trouver la molécule ou le mécanisme qui permet cela sera un grand jour.
Le jour où on pourra être gourmande et avoir bonne conscience.
CQFD
Le jour où on arrivera à trouver la molécule ou le mécanisme qui permet cela sera un grand jour.
Le jour où on pourra être gourmande et avoir bonne conscience.
CQFD
Samedi 19 février 2011 à 14:53
" Les garçons c'est tous des c*** "
En fait quand on y réfléchi c'est plutôt l'inverse. La majeur partie des garçons sont drôles, sympa avec des qualités et des défauts comme tout le monde mais une petite poignée d'irréductibles persiste encore et encore à se comporter en parfaits malotrus (j'adore ce mot ^^) et martyriser nos pauvres petits coeurs.
Tout cela pourrait être génial si ce n'était pas cette poignée d'irréductibles qui nous faisait tourner la tête et chavirer le coeur. Et oui, qui se rappelle du petit binoclard de 3ème qui était éperdument amoureux de nous et nous offrait des poèmes et des petites fleurs cueillies au bord du chemin à chaque fois qu'il nous voyait ? Réponse : Personne.
Par contre je suis persuadée que tout le monde se rappelle du looser de 1ère qui nous a brisé le coeur après nous avoir fait miroiter la lune dans ses bras, son visage, une trace de son parfum (comme Fahrenheit 32), un bout de photo (rangé dans une boite à chaussure), on a toute gardé quelque chose de lui.
On fonctionne comme cela, on oublie ceux qui veulent nous rendre heureuse et on aime les garçons méchants.
Avis aux garçons en mal d'amour, faites nous pleurer et on s'accrochera à vous de toutes nos forces.
CQFD
Tout cela pourrait être génial si ce n'était pas cette poignée d'irréductibles qui nous faisait tourner la tête et chavirer le coeur. Et oui, qui se rappelle du petit binoclard de 3ème qui était éperdument amoureux de nous et nous offrait des poèmes et des petites fleurs cueillies au bord du chemin à chaque fois qu'il nous voyait ? Réponse : Personne.
Par contre je suis persuadée que tout le monde se rappelle du looser de 1ère qui nous a brisé le coeur après nous avoir fait miroiter la lune dans ses bras, son visage, une trace de son parfum (comme Fahrenheit 32), un bout de photo (rangé dans une boite à chaussure), on a toute gardé quelque chose de lui.
On fonctionne comme cela, on oublie ceux qui veulent nous rendre heureuse et on aime les garçons méchants.
Avis aux garçons en mal d'amour, faites nous pleurer et on s'accrochera à vous de toutes nos forces.
CQFD
Lundi 14 février 2011 à 19:45
La Saint Valentin devrait être sponsorisée par les pots de crème glacée.
Crème glacée et films de circonstance (pour ne pas les citer : Titanic, Bridget Jones, Orgueil et préjugés, Le Grand bleu, et j'en passe) sont mes compagnons de Saint Valentin favoris. Quelques soient les circonstances, chaque année ils répondent présents EUX.
Sérieusement, pouvoir fêter la Saint Valentin dépend de tellement de paramètres que le fêter est presque devenu l'événement quasi impossible. Il faut tout d'abord :
- Un chéri (et oui le 14 février en célibataire c'est plutôt la Sans Valentin, sauf pour les égocentriques narcissiques et amoureux de leur reflet dans le miroir)
- Que ce monsieur soit présent ce soir là (déjà plus dur)
- Qu'il ait jeté un coup d'oeil au calendrier ce jour-là (encore plus dur)
- Qu'il ne soient pas de ceux pour qui "mais avec toi mon amour la Saint Valentin c'est tous les jours..." (alors là c'est mission impossible) et enfin
- Qu'il soit généreux et attentionné.
Et bien celles qui ont trouvé un homme comme cela sont des petites veinardes et ont tout intérêt à bien le garder... Pour toutes les autres qui ont ne serait-ce qu'un seul des critères précédents qui ne colle pas et bien il reste toujours le vieux pot de crème glacé qui n'attend que nous pour se blottir avec lui dans le creux du canapé et le déguster langoureusement sans fin devant un bon film.
Moralité, la Saint Valentin doit être sponsorisée par les pots de crème glacée.
C.Q.F.D.
Crème glacée et films de circonstance (pour ne pas les citer : Titanic, Bridget Jones, Orgueil et préjugés, Le Grand bleu, et j'en passe) sont mes compagnons de Saint Valentin favoris. Quelques soient les circonstances, chaque année ils répondent présents EUX.
Sérieusement, pouvoir fêter la Saint Valentin dépend de tellement de paramètres que le fêter est presque devenu l'événement quasi impossible. Il faut tout d'abord :
- Un chéri (et oui le 14 février en célibataire c'est plutôt la Sans Valentin, sauf pour les égocentriques narcissiques et amoureux de leur reflet dans le miroir)
- Que ce monsieur soit présent ce soir là (déjà plus dur)
- Qu'il ait jeté un coup d'oeil au calendrier ce jour-là (encore plus dur)
- Qu'il ne soient pas de ceux pour qui "mais avec toi mon amour la Saint Valentin c'est tous les jours..." (alors là c'est mission impossible) et enfin
- Qu'il soit généreux et attentionné.
Et bien celles qui ont trouvé un homme comme cela sont des petites veinardes et ont tout intérêt à bien le garder... Pour toutes les autres qui ont ne serait-ce qu'un seul des critères précédents qui ne colle pas et bien il reste toujours le vieux pot de crème glacé qui n'attend que nous pour se blottir avec lui dans le creux du canapé et le déguster langoureusement sans fin devant un bon film.
Moralité, la Saint Valentin doit être sponsorisée par les pots de crème glacée.
C.Q.F.D.
Vendredi 11 février 2011 à 21:28
Nous sommes le vendredi 11 février 2011, alors que je tape ces lettres l'horloge en face de moi indique 20:55, ou plutôt 20:56 le temps que j'écrive cette phrase. Drôle de façon de commencer un article certes, mais c'est toujours un début, mauvais, mais un début.
Je n'aime pas des débuts, les introductions ou autres mots pour désigner le commencement d'une chose. Pourquoi je n'aime pas ça dira-t-on... J'imagine déjà "C'est bien un début, c'est un moyen de démarrer en beauté, de donner un aperçu, donner envie [...]" Pour moi lorsqu'il y a un début cela présage forcément qu'il y aura une fin (ndlr : toutes les bonnes choses ont une fin). Et quoi qu'on en dise une fin c'est triste et souvent prévisible. Je n'aime pas les fins. Donc je n'aime pas les débuts. CQFD
Je n'aime pas des débuts, les introductions ou autres mots pour désigner le commencement d'une chose. Pourquoi je n'aime pas ça dira-t-on... J'imagine déjà "C'est bien un début, c'est un moyen de démarrer en beauté, de donner un aperçu, donner envie [...]" Pour moi lorsqu'il y a un début cela présage forcément qu'il y aura une fin (ndlr : toutes les bonnes choses ont une fin). Et quoi qu'on en dise une fin c'est triste et souvent prévisible. Je n'aime pas les fins. Donc je n'aime pas les débuts. CQFD
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